Friday, November 9, 2012
Le temps qui fuit entre nos doigts
En 1966, à cause de cette chanson, je savais déjà que le temps passait déjà trop vite et nous filait entre les doigts pour ne plus jamais revenir.
Bien que je n'avais pas vécu une enfance idéale, je savais que l'insouciance de la jeunesse prenait fin et que les responsabilités d'être un adulte m'incomberaient bientôt.
Observant mes parents, je savais que la vie adulte ne comportait pas toujours des joies, mais que les responsabilités pesaient parfois lourds sur les épaules de ces deux personnes chargées de leur bagage de talents et de défauts. Pourrais-je, devrais-je faire mieux?
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In 1966, while wishing to grow up as fast as possible like any teenager would, I already knew, thanks a lot to this song, that my carefree childhood was almost over, and that the responsibilities of being an adult would soon be bestowed upon me.
I could already feel that my parents were vulnerable, unperfect humans that carried a load on their shoulders, even if they did try to be brave in the eyes of their only child.
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