Friends of the Richelieu. A river. A passion.



"Tout cedit pays est fort uny, remply de forests, vignes & noyers. Aucuns Chrestiens n'estoient encores parvenus jusques en cedit lieu, que nous, qui eusmes assez de peine à monter le riviere à la rame. " Samuel de Champlain


"All this region is very level and full of forests, vines and butternut trees. No Christian has ever visited this land and we had all the misery of the world trying to paddle the river upstream." Samuel de Champlain

Wednesday, September 30, 2015

The Halliburton Loophole

Photo: Puits à La Présentation, Québec, courtoisie Marie-Ève Mathieu

"In 2005, President George Bush and Congress ensured that no federal regulations would get in the way. He gave hydraulic fracturing a free pass from the Safe Drinking Water Act. The forthcoming shale gas revolution would also be unencumbered by concerns about groundwater. The term "underground injection," the Act declared, now excluded the injection of natural gas for storage, as well as "the underground injection of fluids or propping agents (other than diesel fuels) pursuant to hydraulic fracturing operations related to oil, gas or geothermal production activities." Industry called the law a "plain language" fix. Critics dubbed it the Halliburton Loophole."

Exerpt from Andrew Nikiforuk's book Slick Water, p. 90

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Ma traduction libre d'un extrait du livre Slick Water d'Andrew Nikiforuk:

"En 2005, le Président George Bush et le Congress se sont assurés qu'aucune règlementation fédérale n'interviendrait. Il donna à la fracturation hydraulique une exemption gratuite du Safe Drinking Water Act. La révolution du gaz de schiste à venir ne sera pas gênée par des préoccupations pour l'eau souterraine. L'expression "injection souterraine", selon cette Loi, excluait maintenant l'injection de gaz naturel pour l'entreposer, ainsi que "l'injection de fluides ou d'agents proppants (autres que le diesel) durant les opérations de fracturations hydrauliques liés aux activités de production de pétrole, de gaz ou de géothermie." L'industrie qualifiait cette démarche une correction pour "simplifier le langage". Les critiques la baptisèrent "Halliburton Loophole".

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